Parce que l’omniprésence du numérique force les entreprises à s’adapter toujours plus vite et à rechercher les profils experts, les jeunes actifs doivent étoffer leurs compétences et asseoir leur légitimité. Ainsi, ils sont nombreux à miser sur les formations à double compétence : ils renforcent ainsi leur employabilité et leur capacité à apprécier l’innovation.
En quoi la double compétence est-elle un atout sur le CV, une valeur sûre ? Pourquoi ces parcours sont-ils tant plébiscités ?
Quel est l’intérêt de la double compétence ?
La double compétence se définit par le cumul d’une formation initiale et d’une formation complémentaire. Son intérêt est d’enrichir son panel de compétences : une plus-value de taille qui peut jouer en votre faveur lors d’un processus de recrutement ou d’une perspective d’évolution. La double compétence simplifie l’accès aux métiers à la croisée de plusieurs disciplines. S’ajoute également la question du salaire. Les profils à double compétence bénéficient d’une rémunération 10% plus importante que les autres collaborateurs, selon une étude Studyrama.
Quels sont les avantages pour les entreprises ? La double compétence est associée par les recruteurs à la notion de polyvalence et de transversalité : deux caractéristiques clés pour les marques soucieuses de s’adapter rapidement aux mutations du marché. Aujourd’hui, les compétences complémentaires apparaissent nécessaires pour faciliter la prise de décision, accroître la productivité et faire face à la concurrence. Il s’agit en effet de décloisonner les disciplines pour mieux appréhender les enjeux business et technologiques associés, afin de gagner en efficacité. Typiquement, le Parcours MIT (Management et Ingénierie de la Tech), l’un des parcours du Programme Grande Ecole de l’ISG conçu en partenariat avec l’EPITA, répond à ces attentes. Celui-ci permet aux étudiants de se former sur l’implémentation de la tech dans tous les services de l’entreprise, du sourcing à la politique de recrutement.
Des attentes et exigences amplifiées par la crise sanitaire
C’est un fait, la crise sanitaire a été un accélérateur puissant de l’usage du numérique. Très appréciée des recruteurs, la maîtrise de divers outils digitaux rend encore plus pertinent votre CV, puisqu’elle démontre non seulement votre capacité d’adaptation et d’opérationnalité, mais aussi votre sensibilisation aux évolutions à venir. Le digital est partout : du tourisme au luxe en passant par l’automobile et les services. Notons également que la percée de l’Intelligence Artificielle et son utilisation s’étendent dans les entreprises à tous les niveaux, du marketing à la politique RH.
Enfin, le numérique permet indéniablement aux entreprises de se développer, peu importe leur taille. Selon le baromètre Croissance & Digital paru en décembre 2020, 79% des entreprises reconnaissent l’impact du digital sur leur croissance et 20% constatent une augmentation de 25% de leur chiffre d’affaires liée au numérique. Des chiffres cohérents avec les comportements des utilisateurs : au niveau mondial un internaute moyen passe aujourd’hui près de 7 heures par jour sur internet sur tout type d’appareil, et l’on compte près de 420 milliards d’utilisateurs de médias sociaux dans le monde, selon le Digital Report 2021 de We are Social et HootSuite.
Face à ces enjeux, et fidèle à son esprit pionnier, l’ISG a décidé d’intégrer des modules tech, digitaux et créa, dans chacun de ses programmes de formation, dont certains permettent l’obtention de nano-certificats.
Ainsi, le Programme Grande École propose des électifs conçus en partenariat avec des écoles d’ingénieur, d’informatique et de créativité du groupe IONIS. Ces certificats contribuent à ancrer la professionnalisation des étudiants, et à faire d’eux les managers « intelligents » et « connectés » de demain.
Parmi les électifs proposés, nous pouvons citer : IA & ChatBot pour le Business (avec EPITA et Google/Dialogflow), Data Science et Informatique Décisionnelle (avec EPITA et Dataiku), Cybersécurité des entreprises (avec EPI et Fortinet), Trading de l’énergie (avec ESME SUDRIA) ou encore Créativité & Webdesign (avec e-artsup) et Nouvelles technologies de l’entertainment et de la Musique. De la même manière, si vous suivez le Bachelor Management International, vous pourrez choisir de vous spécialiser dans différents domaines :
- Luxe, cosmétiques, biotechnologies (avec Sup’Biotech)
- Chatbot pour l’e-commerce (avec EPITA)
- Food et foodtech (avec Sup’Biotech)
- Drones et logistique (avec IPSA)
De quoi renforcer cette formation qui vous prépare aux enjeux économiques, sociétaux et environnementaux de demain (commerce international, développement durable, protection et valorisation des données, alimentation durable, déplacement et mobilité, etc.).
« Avec l’intégration de nano-certificats dans ses formations, l’ISG permet à ses étudiants d’acquérir une vision des métiers qui se digitalisent et ainsi d’être opérationnel. Les entreprises ont besoin de profils ayant cette culture digitale. », précise Tommy Lambert, Directeur Digital, Parcours MIT et des nano-certificats
Comment faire le bon choix ?
Face aux multiples formations et options existantes, se forger une double compétence semble « facile » mais encore faut-il rester cohérent dans ses choix afin de convaincre le recruteur, ou l’employeur de sa légitimité. Pour ce faire, mieux vaut connaître précisément la profession ainsi que le secteur pour lesquels on se destine. Réfléchir à son projet avant de se lancer est donc primordial.
Il advient également de se remettre en question, d’identifier ses points forts ainsi que ses axes d’amélioration afin de choisir les formations en adéquation avec ses objectifs professionnels. Le choix de l’école est également à prendre en considération puisque l’accompagnement et la pédagogie appliquée permettent aussi d’arriver à ses fins. L’équilibre entre la théorie et la pratique est-il respecté ? Qui sont les professionnels qui interviennent ? Les étudiants profitent-ils de « mises en situation » en plus des stages ?
A titre d’exemple, le Programme Business & Management de l’ISG permet à l’étudiant de 1ère et 2ème année, de s’ouvrir, en plus des cours fondamentaux de gestion, à d’autres disciplines et à penser les projets à 360°. Une compétence devenue clé aujourd’hui pour réussir. Les « 1ère année » se forment au codage et à la programmation web dans le but de créer un blog ou un site internet. L’année suivante, ils consolident leurs connaissances en travaillant sur le développement d’une application mobile, voire d’un chatbot. Évidemment, ces étudiants sont accompagnés et conseillés par des intervenants d’Epitech. Enfin, en 3ème année les étudiants ont la possibilité de suivre un semestre au sein d’une autre école du Groupe IONIS et de découvrir d’autres domaines de compétences, de nouveaux métiers, de s’ouvrir à la transformation digitale et au business connecté. Design & Business avec e-artsup, Coding Academy avec Epitech… De quoi justifier d’une réelle formation en Business et Tech une fois diplômé !
« 60% des diplômés de l’ISG trouvent un emploi avant la fin de leurs études et 87% deux mois après l’obtention de leur diplôme. Ce taux d’employabilité est à mettre en regard de ce qui fait la force de l’école : former les étudiants à l’agilité et l’adaptabilité. », ajoute Martine Verbrugghe, Directrice des Relations Entreprises pour l’ISG
Vous l’aurez compris, les parcours à double compétence enrichissent les élèves, favorisent l’accès à l’emploi et se positionnent même comme les formations de demain. En phase avec les besoins et la complexité du numérique, ils forment des salariés multicasquettes, convoités aussi bien dans les start-up que dans les grands groupes.
Vous êtes intéressé par les modules de l’ISG ? Vous souhaitez en savoir plus sur leurs formations ? Rendez-vous sa page école dédiée.