Engagée depuis 2019 auprès de Plastic Odyssey, la Matmut fait de la lutte contre la pollution plastique une priorité. Avec le soutien de trois associations engagées, elle renouvelle le samedi 25 mai prochain – et pour la 3e année consécutive – son dispositif de marches vertes, avec un élargissement à dix villes françaises. Inédite également, une large campagne de communication de proximité vient sensibiliser le plus grand nombre au fléau de la pollution plastique.
Les marches vertes pour la préservation des écosystèmes
La Matmut manifeste son engagement en faveur de l’écologie en luttant contre la pollution plastique à travers son dispositif des marches vertes (ou cleanwalks). Cette édition s’inscrit dans le prolongement des deux précédentes. Avec en plus un élargissement à dix villes de France pour les volontaires inscrits (sociétaires et collaborateurs Matmut mais aussi grand public). Le nombre de villes est en effet doublé par rapport à la précédente édition : Bordeaux, Lyon-Villeurbanne, Marseille, Tours, Rouen, Lille, Rennes, Vincennes, Toulouse et Metz.
Au programme, samedi 25 mai 2024, de 14h à 17h :
- Distribution de l’équipement (gants, sacs-poubelles, pinces…),
- Ramassage puis tri des déchets,
- Bilan collectif et débriefing.
Notons que les marches vertes sont réalisées en collaboration avec trois associations, dont l’engagement local est reconnu. Citons : Wings of The Ocean, Clean My Calanques, et Cleanwalker.
Pour info, les inscriptions s’effectuent, dans la limite des places disponibles, sur la page de l’agenda dédié.
Un dispositif de sensibilisation du plus grand nombre
La troisième édition des marches vertes s’est accompagnée d’une large campagne de sensibilisation. Ainsi, de l’affichage urbain a été déployé jusqu’au 22 mai dernier. Et ce, grâce à 539 faces de 2 m2 à Lyon, Tours, Rouen, Rennes, Vincennes, Toulouse et Metz. De l’affichage numérique (DOOH) a été en plus visible jusqu’au 22 mai dernier. Notamment grâce à 126 écrans (spot de 10 secondes), à Bordeaux, Lyon, Marseille, Tours, Rouen, Rennes, Lille et Metz.
Par ailleurs, plusieurs formats seront déployés aussi sur les réseaux sociaux, dès le mois de juin :
- Plas’Tips : infographies animées qui donnent des astuces pour limiter sa consommation de plastique au quotidien,
- Plastic Facts : courtes capsules vidéos qui démystifient des légendes urbaines sur le plastique,
- Micro Plastic : micros-trottoirs pour sonder l’opinion publique au sujet du plastique et en profiter pour délivrer des messages pédagogiques.
Stéphanie Boutin, membre du Comex du Groupe Matmut, en charge des Directions de la RSE et de la Communication commente : « Un déchet jeté par terre, en France, peut voyager à l’autre bout du monde, et dégrader la biodiversité. Chacun, à son échelle, peut agir, pour limiter le fléau de la pollution plastique. La Matmut fait de la lutte contre la pollution des sols et des océans une de ses priorités. Et nous entendons sensibiliser, acculturer et embarquer chacune et chacun dans une ambiance positive et conviviale. C’est le sens des marches vertes, en lien avec des acteurs associatifs engagés. C’est bien collectivement que nous pouvons avoir un impact ».
Un engagement au long cours
La Matmut est un acteur engagé en matière de lutte contre la pollution. Grâce à ses marches vertes locales en 2023, 3,5 tonnes de déchets sauvages ont été ramassées par 500 participants, dans 5 villes de France.
Dans le cadre de sa politique RSE, la lutte contre la pollution plastique est une préoccupation majeure. Son partenariat avec Plastic Odyssey en est une illustration. À travers un tour du monde de trois ans, l’équipage du navire recherche des solutions pour lutter contre la pollution plastique sur terre. Et ainsi empêcher son déversement dans les mers. Plastic Odyssey permet à des entrepreneurs d’incuber leur projet sur le sujet. Mais également d’installer des micro-usines de recyclage dans de nombreux pays.
La Matmut a récemment soutenu l’expédition dans le cadre de l’opération Le Nettoyage de l’Impossible. Celle-ci a été menée sur l’île Henderson (Pacifique). En cinq jours, elle a permis d’extraire, en contexte hostile, 9 tonnes de déchets plastiques de cette île classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.