Enfants influenceurs : tout savoir sur ces petites stars des réseaux sociaux

Par Anna Audegond

2 octobre 2024

En collaboration avec Made in

En collaboration avec Made in

Sur les réseaux sociaux, on aime suivre la vie et l’évolution de nos influenceurs préférés. En grandissant, les thématiques abordées varient. Et un jour arrive le sujet des enfants. Bon nombre de parents influenceurs ne résistent pas à l’idée de partager des photos de leur progéniture sur les réseaux sociaux. Et ces publications, gage d’authenticité, sont très populaires. Cela se fait même parfois dans le cadre d’une collaboration commerciale.

Quelle est l’ampleur de ce phénomène ? Qui sont ces familles connectées ? Comment la loi protège-t-elle les enfants influenceurs ? Quelles sont les bonnes pratiques pour travailler avec eux ? On vous éclaire sur le sujet, en compagnie de l’agence Made in, une référence dans l’univers famille.

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Crédit photo : Pexels / Ron Lach

 

Les parents à l’assaut des réseaux

Il n’y a pas que les “djeuns” qui sont actifs sur les réseaux sociaux. La preuve en est : 38% des parents français publient au moins une fois par mois selon une étude de l’Observatoire de la Parentalité et de l’Education Numérique (OPEN) sortie en février 2023. Et bien sûr, on les retrouve principalement sur Facebook (93%). 37% d’entre eux sont aussi sur Instagram et seulement 9% sur TikTok.

Quand on aime quelque chose, on a envie de le partager à tout le monde. Et qu’est-ce qu’on aime plus que tout ? Sa famille d’abord. Les parents affichent ainsi leurs bambins le jour de la rentrée des classes, lorsqu’ils font une activité sportive ou plus tard lors de la remise des diplômes. Les parents sont fiers et le font savoir. Ainsi, 53% des parents français ont déjà partagé du contenu sur leurs enfants selon l’OPEN. Et encore plus chez les parents les plus jeunes (moins de 36 ans).

 

Le phénomène des “familles 2.0

Ce qui est à la mode et ce qui marche sur les réseaux sociaux, c’est justement l’authenticité. Et forcément en tant que parent, les enfants représentent une grande partie de notre vie. Certains se sont donc spécialisés dans l’influence familiale en mettant en avant leur vie de famille et en axant leur compte sur la parentalité. Il peut s’agir d’influenceurs qui sont devenus parents ou des comptes créés spécialement autour de la famille. Les parents influenceurs partagent ainsi leurs moments familiaux, des astuces éducatives et abordent leur expérience de la parentalité. 85% d’entre eux publient des photos et vidéos de leurs enfants au moins une fois par semaine selon l’étude de l’OPEN.

Et ça marche plutôt bien ! Ils sont de plus en plus nombreux à se lancer et leur contenu plaît de plus en plus. Sur les 150 000 influenceurs que compte la France, 3 875 sont des parents influenceurs en 2023 selon une étude de Reech sortie en mai 2023. C’est 3,3% de plus qu’en 2021. Il en va de même pour le nombre d’impressions réalisées par leurs posts, qui est passé de 11,4 milliards en 2021 à 14 milliards en 2022, soit une augmentation de 22,8%.

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Crédit photo : Pexels / Anastasia Shuraeva

 

Qui sont ces influenceurs famille ?

La grande majorité de ces influenceurs sont des mamans (94%), sans grande surprise, selon l’étude. Leur réseau social favori reste Facebook (68%) même si les parents les plus jeunes (18-35 ans) sont sur Instagram et TikTok. La différence de génération se ressent aussi dans le contenu posté : ces derniers postent plus de vidéos que les plus âgés, qui préfèrent les photos. La plupart sont des micro-influenceurs, ayant entre 5 000 et 10 000 abonnés.

Concernant les enfants, ils sont exposés jeunes, et encore plus lorsque les parents sont jeunes. Ils ont souvent entre 2 et 5 ans lors de leur première exposition sur les réseaux. Et cela fait débat. 76% des parents influenceurs ont déjà reçu des critiques pour avoir partagé du contenu de leur enfant sur les réseaux (que ce soit de la famille, des amis ou autres utilisateurs) selon l’étude de l’OPEN. Malgré tout, 44% des parents déclarent obtenir le consentement de l’enfant avant de publier du contenu sur lui. Pour l’organisation, une plage horaire définie est dédiée à la création de contenu dans l’emploi du temps de l’enfant.

 

Un métier à part entière

En effet, le passe-temps prend du temps ! La plupart des parents influenceurs consacrent entre 6 et 10h à la création de contenu par semaine. La passion se transforme ainsi en véritable métier. Pour 47% des parents influenceurs, cette activité est leur seule source de revenu (parmi ceux qui déclarent recevoir une rémunération). 70% d’entre eux déclarent gagner jusqu’à 5 000€ mensuels. Cette rémunération provient principalement des publicités sur les vidéos (52%), de l’affiliation (24%), de la vente de service (23%), du sponsoring et égérie de marque (19%), des partenariats avec des marques (19%)…

Mais qui perçoit cette rémunération ? Selon l’étude de l’OPEN, c’est pour l’enfant dans 66% des cas, pour les besoins de la famille dans 60% des cas et pour les parents dans 36% des cas.

Par ailleurs, les parents influenceurs sont nombreux (59%) à déléguer certaines de leurs activités à des professionnels comme la gestion des contenus ou la recherche de partenariats. C’est justement l’une des expertises de l’agence Made in. Celle-ci s’est notamment spécialisée dans l’accompagnement des parents influenceurs. En voici quelques-uns.

 

Des exemples de parents influenceurs

5 “mamans” créatrices de contenu :

@sofiadun10 (241k abonnés sur Instagram)

Sofia Dunlop partage des moments de vie, des bons plans, de la déco, des looks… Mais aussi beaucoup de sport ! Et oui, deux de ses quatre enfants, Cayssi et Mila, pratiquent le golf à niveau international. On voit aussi souvent son mari Wesley et ses deux autres enfants Louis et Leny.

 

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@babyatoutprix (337K abonnés)

Lucie Gabossi Kakuta Mambenga partage avec ses abonnés des moments de vie de famille avec ses trois enfants : Maël, Téa et Noé. La maman partage des inspirations décos pour les chambres des enfants, ou encore des références de jouets ou de vêtements. On suit avec elle l’évolution de sa petite fratrie. 

@cle_lya (321k abonnés)

Clélia Meurgue partage sa vie de famille au travers de courtes vidéos sur Instagram et TikTok. Et c’est l’humour qui domine ! “Quand ton bébé dort enfin”, “Quand un duel de gym se prépare entre ma fille et son papa”, “Quand tu profites de tes derniers jours de femme enceinte”… Autant de situations vécues par de nombreuses familles. On retrouve en personnages principaux ses trois enfants Loris, Lya et Loé ainsi que son mari Formose Mendy.

@babychoufamily.fr (362k abonnés)

Dans la famille Baby Chou, la mère partage ses looks ainsi que celui de ses enfants Mila et Owen mais aussi des idées d’activités à faire avec les enfants ! Et c’est sur YouTube, que la famille s’est fait connaître.

@leadorables (274k abonnés)

Maman d’une petite tribu de 5 enfants, Léa partage sa vie de famille, les activités et escapades normandes mais aussi de la décoration.

 

5 “papas” créateurs de contenu :

@nicook_off (277k abonnés)

La spécialité de Nicolas Tonini ? La cuisine. Le papa apprend à cuisiner à ses deux enfants, Ella et Alec, en vidéo. Sur YouTube et TikTok, on retrouve des challenges, et sur Instagram des idées de recettes. La famille teste aussi des restaurants ou des activités à faire avec les enfants comme des parcs d’attractions.

 

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Une publication partagée par Nicolas Tonini (@nicook_off)

@samuelclt (173k abonnés)

Samuel est père au foyer et partage son quotidien de papa sur Instagram. Il a créé “Parents de demain”, une communauté digitale pour se partager des trucs et astuces sur l’organisation du quotidien. Le nécessaire pour relever les défis de la parentalité !

@papa.plume (273k abonnés)

Alexandre Marcel met des mots sur les maux qu’il peut rencontrer dans sa vie de papa. Mais pas que ! Il relate à l’écrit des moments vécus avec ses enfants, donne son ressenti sur son rôle de père et partage des conseils. Il est également l’auteur de deux livres. Le temps bleu raconte notamment l’odyssée d’un père et de sa fille.

@les_moumis_family (192k abonnés)

Arthur et Morane Dutreuil partagent leur quotidien de jeunes parents. Au travers de Reels Instagram et de vidéos TikTok humoristiques, ils s’amusent des différences entre papas et mamans. Ils publient aussi régulièrement des photos et vidéos de leur petite Roma, surnommée Mimounette,  de ses premières fois et de leurs vacances.

@benoitdouady (164k abonnés)

Benoît Douady s’est d’abord fait connaître à la télé. Il a participé avec sa femme Charlène Le Mer à la saison 7 de Secret Story. Le couple s’est ensuite lancé dans le métier d’influenceur. Puis ils sont devenus parents de Thyam et Alba. Depuis, Benoît partage de nombreux clichés de ses deux enfants sur Instagram.

 

Que dit le cadre légal sur les enfants influenceurs ?

Loi du 19 octobre 2020 : protéger les enfants influenceurs et leur travail

Qui dit nouvelles pratiques, dit nouvelles lois. Le travail des enfants est interdit en France. Mais certaines dérogations sont possibles notamment dans le secteur du cinéma ou du mannequinat. Il ne manquait que celle pour les enfants influenceurs. La Loi du 19 octobre 2020 visant à encadrer l’exploitation commerciale de l’image d’enfants de moins de seize ans sur les plateformes en ligne y remédie.

Des règles protectrices sont maintenant en vigueur. Selon la loi, avant de tourner puis diffuser une vidéo de leurs enfants, les parents doivent demander une autorisation auprès de l’administration. Autre obligation, financière, cette fois-ci : une partie des revenus perçus par l’enfant doit être placée à la Caisse des dépôts jusqu’à leur majorité ou leur émancipation, comme c’est la règle pour les enfants du spectacle. Des sanctions sont prévues si ce n’est pas fait.

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Crédit photo : Pexels / Ron Lach

 

Une autre de ces règles limite le temps de travail de l’enfant influenceur. Les horaires de travail sont adaptés à son âge, tout comme les enfants mannequins ou acteurs. 3 heures de travail par jour pour un enfant de 3 ans, et jusqu’à 7 heures pour un adolescent de 16 ans. Toutes les deux heures, une pause réglementaire de 30 minutes est à prévoir.

Par ailleurs, pour sensibiliser les mineurs sur les conséquences de la diffusion de leur image ainsi que sur les risques psychologiques et juridiques, les plateformes de partage de vidéos sont incitées à adopter des chartes. La signature de ces dernières est supervisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA).

Dernière nouveauté : les mineurs ont désormais le droit à l’effacement ou à l’oubli, prévu par la loi Informatique et libertés du 6 janvier 1978. Les plateformes de vidéos doivent retirer les vidéos des enfants à leur demande. Et pour cela, le consentement des parents n’est pas obligatoire.

 

Loi Studer du 2 mars 2022 : renforcer le contrôle parental

Il n’y a pas que les enfants influenceurs qui doivent être protégés sur internet, mais tous les enfants en général.  Ainsi la Loi Studer du 2 mars 2022 vise à renforcer le contrôle parental sur les moyens d’accès à internet. Les fabricants d’appareils connectés (smartphones, tablettes…) doivent obligatoirement installer un dispositif de contrôle parental et proposer son activation gratuite lors de la première mise en service de l’appareil.


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Loi du 19 février 2024 : respecter le droit à l’image de l’enfant

Publier des photos de ses enfants est si simple. On fête l’anniversaire de son enfant et on partage une photo de ce moment en un clic sur les réseaux. Mais ce n’est pas sans risques, notamment sur l’atteinte à la vie privée. Dans ce sens, une loi a été votée le 19 février 2024 pour mieux faire respecter le droit à l’image des enfants par leurs parents sur les réseaux sociaux.

Parmi ces risques : le détournement des images, notamment par des réseaux pédophiles, le préjudice à long terme de la diffusion d’une image… Mais aussi des risques sur la santé psychologique de l’enfant : l’exposition excessive au jugement de tiers, la course aux likes, la pratique du “prank“.

Ainsi, la loi modifie le Code civil. Elle introduit la notion de vie privée dans la définition de l’autorité parentale. Autrement dit, les parents doivent veiller au respect de la vie privée de leur enfant, y compris son droit à l’image. Ensuite, la loi autorise le juge des affaires familiales à interdire à un parent de publier ou diffuser toute image de son enfant sans l’accord de l’autre parent. De plus, une délégation partielle forcée de l’autorité parentale est créée en cas de diffusion de l’image de l’enfant portant gravement atteinte à sa dignité ou à son intégrité morale.

Pour finir, un dernier article permet à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) de saisir le juge si une demande d’effacement de données personnelles n’est pas respectée.

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Crédit photo : Pexels / Ron Lach

 

Les bonnes pratiques pour travailler avec des enfants de moins de 16 ans

Maintenant que vous êtes à jour sur le cadre juridique, voici quelques tips pour travailler avec les enfants sur les réseaux sociaux. Les agences d’influence et les marques ont effectivement leur rôle à jouer dans le respect de l’enfant.

Dès lors qu’un partenariat inclut un mineur de moins de 16 ans, un contrat mannequin doit être créé pour apporter un cadre légal au travail de l’enfant. Ce dernier doit ensuite être signé par ses représentants légaux. La rémunération de l’enfant doit ensuite être déposée sur un compte à son nom à la Caisse des Dépôts. Comme évoqué précédemment, il est important de respecter les horaires de travail de l’enfant selon sa tranche d’âge.

En janvier 2020, alors que la loi visant à encadrer l’exploitation commerciale de l’image d’enfants de moins de seize ans sur les plateformes en ligne n’était qu’une proposition, la Fédération française des industries Jouet Puériculture (FJP), à l’initiative d’Hasbro France, a lancé une charte de bonnes pratiques de collaboration avec les influenceurs mineurs.

La charte Kid’influenceurs insiste sur 4 grands points :

  • Le respect des règles classiques de collaboration marque-influenceur telles que formulées par l’ARPP : indiquer lorsque c’est une collaboration commerciale, avec un hashtag par exemple et cela même s’il n’y a pas rémunération, du moment qu’il y a une relation de réciprocité entre la marque et l’influenceur.
  • Le respect de l’intérêt et de l’intégrité des enfants avec 3 principes : « L’école avant tout », « C’est l’enfant qui décide » et « Un contenu irréprochable pour l’intégrité de l’enfant »
  • Le respect des horaires de tournage
  • Et en cas de rémunération, l’enfant doit s’inscrire dans une agence de mannequin.

 

Pour aller plus loin, nous avons interrogé l’agence Made in

La maison Made in est une agence dédiée au marketing d’influence. Créée en 2012 au Canada, elle s’implante en Europe et à Paris à partir de 2015 et s’impose comme un véritable leader de l’industrie. Made in a reconnu l’immense potentiel du marketing d’influence avant qu’il ne soit ce que l’on connaît aujourd’hui. Stratégie de contenu, marketing d’influence, production de contenu, relations publiques… L’agence offre sa connaissance et son expérience à ses clients et les aide ainsi à développer leur présence sur les médias sociaux.

Vous le savez bien, chez J’ai un pote dans la com, on essaie toujours de pousser nos analyses pour vous apporter un maximum de matière et vous conseiller au mieux. Alors, pour vous éclairer encore un peu plus sur notre sujet du jour, nous nous sommes entretenus avec Sophie Benarab, Directrice Générale et cofondatrice de Made in.

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Crédit photo : Pexels / Ron Lach

 

JUPDLC : Aujourd’hui, les publics recherchent de l’authenticité, des “histoires vraies” à portée de clic. En parallèle, la maison semble être devenue un “nouvel espace commercial” avec la multiplication des vidéos “personnelles”, plus “intimistes” et “homemade”. Ces tendances contribuent-elles à l’augmentation du nombre de parents influenceurs ?

Sophie Benarab : Absolument. Les consommateurs cherchent des récits dans lesquels ils peuvent se retrouver, et les influenceurs qui partagent leur quotidien, leurs réussites, mais aussi leurs défis, résonnent particulièrement bien avec ce besoin d’authenticité. La maison, en tant qu’espace où se déroulent ces moments de vie, devient naturellement le décor idéal pour ces contenus. De plus, le côté “homemade” renforce cette impression de proximité et d’authenticité, et rend plus accessible l’activité de créateur de contenu.

 

JUPDLC : Avez-vous déjà travaillé sur des campagnes impliquant directement les enfants des influenceurs ? Si oui, pouvez-vous nous parler d’une activation marquante ?

Sophie Benarab : Nous avons déjà mené plusieurs campagnes où les enfants des créateurs de contenu étaient présents, que ce soit des campagnes pour des marques de mode enfant, de jouets de voyages, etc. Les contenus doivent être spontanés et authentiques, une campagne avec un brief et script strict ne serait pas appropriée. Nous avons participé à une belle campagne l’hiver dernier en collaboration avec une agence de voyages où une créatrice de contenu a pu faire découvrir la Laponie à sa fille dont c’était le rêve.

 

JUPDLC : Comment adaptez-vous la stratégie de contenu pour inclure les enfants dans ces campagnes ? Quelles sont les approches créatives que vous utilisez pour rendre le contenu engageant tout en respectant les droits et le bien-être des plus jeunes ?

Sophie Benarab : L’inclusion des enfants dans les campagnes nécessite une approche sur mesure et respecte un cadre juridique strict. Sur le plan créatif nous privilégions les contenus spontanés, courts et dynamiques qui correspondent mieux à l’attention et à l’énergie des enfants. Le respect des droits et du bien-être des enfants est au cœur de notre démarche et les enfants sont systématiquement couverts par un contrat de mannequinat via des agences agréées pour chaque apparition dans un contenu sponsorisé.

Crédit photo : Pexels / Cottonbro Studio

 

JUPDLC : Pour finir, comment les acteurs du monde de l’influence – et plus précisément les agences – peuvent-ils accompagner les enfants et leurs parents mais aussi les marques dans ce domaine, selon vous ?

Sophie Benarab : Toutes les parties ont un rôle clé à jouer pour s’assurer que les attentes soient alignées et que les campagnes soient menées dans le respect des enfants. Cela passe par une communication transparente et continue, la mise en place de contrats clairs qui protègent les intérêts des enfants, et un soutien tout au long du processus, y compris après la diffusion des contenus. Il est également essentiel de sensibiliser les marques aux enjeux liés à l’inclusion des enfants dans leurs campagnes, afin de créer des contenus qui sont à la fois engageants et éthiquement responsables.

 

Pour en savoir plus sur Made in, rendez-vous sur sa page dédiée !

Page agence Maison Made in

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