Demain le 10 octobre 2024 se tiendra la Journée mondiale de la santé mentale ! Cette cause est remise en avant récemment avec l’intervention du premier ministre Michel Barnier, qui souhaite en faire une « grande cause nationale » en 2025. D’ailleurs, en mars 2024, une enquête internationale Ipsos révélait que 55% des Français réfléchissent souvent à leur santé mentale. Un chiffre en hausse… Particulièrement chez les femmes et la génération Z, où 63% s’y intéressent !
Qui sont ces Français souffrant régulièrement de stress, anxiété ou dépression ? Quel est leur rapport à la santé ? Quel impact a eu l’inflation sur leur recours à la médecine ? Quelle est leur consommation médias ? dentsu Insights nous éclaire sur le sujet.
Une situation qui inquiète
La santé mentale est étroitement liée au stress et à la dépression. Selon la même étude de l’Ipsos, 36% des Français subissent des perturbations dues au stress, et 25% ont vécu des épisodes dépressifs. D’après Santé publique France, 12% des adultes de plus de 18 ans ont connu une dépression l’année dernière, et 16% ont souffert d’anxiété.

Dans les cas les plus graves, 4% des adultes ont même pensé au suicide. Pour faire face à ces défis, 21% des Français ont recours à des médicaments, près d’un sur cinq consulte des professionnels de santé, et 27% en parlent à leurs proches, soulignant l’importance du soutien social.
Par ailleurs, l’étude dentsu Insights montre qu’un tiers des Français souffre de perturbations dues au stress et qu’un quart a déjà traversé un épisode dépressif. 12% des adultes de plus de 18 ans ont été touchés par la dépression au cours de la dernière année, selon Santé publique France. Tandis que 16% ont souffert d’anxiété. Plus préoccupant encore, 4% des adultes ont envisagé le suicide.

1. Impact de l’inflation sur la santé mentale et le recours aux soins
L’inflation et la hausse du coût de la vie ont également un impact majeur sur la santé mentale des Français… Avec des répercussions sur leur recours à la médecine et leur consommation de médicaments.
Notons que 21% des Français utilisent des médicaments pour gérer leur stress ou leur dépression. Tandis que 27% s’appuient sur leurs proches pour obtenir du soutien. Cependant, le coût des traitements pousse certains à pratiquer l’automédication ou à renoncer à des consultations médicales.

2. Un public vulnérable : les jeunes femmes et la génération Z
L’étude met en lumière que les jeunes femmes, principalement célibataires et aux revenus modestes, sont les plus touchées par le stress et la dépression. Ce public est conscient de sa vulnérabilité et accorde une importance particulière à sa santé et à son bien-être.

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