Surfrider Foundation Europe et l’agence ici Barbès ont décidé de frapper un grand coup avec leur nouvelle campagne. Alarmante, choquante et horripilante, ils comptent bien faire bouger les lignes en dénonçant les conséquences catastrophiques de la présence des microplastiques dans l’océan.
Pour lutter contre les microplastiques, il faut agir vite
Les microplastiques sont omniprésents dans notre vie quotidienne, notamment dans les produits cosmétiques et ménagers. Mais une fois rejetés dans l’environnement, ils sont pratiquement impossibles à éliminer. Par conséquent, ils restent à jamais présents, polluant l’océan et les milieux aquatiques. Ils se propagent dans tout l’environnement et sont ingérés par la faune marine. Celle-ci se retrouvant dans nos assiettes, les microplastiques se retrouvent dans notre propre estomac causant de graves problèmes de santé. Un véritable cercle vicieux.
Avec cette campagne, l’ONG adopte une nouvelle tonalité, à savoir le choc. De même, elle n’y va pas par quatre chemins, avec une signature franche : Microplastics kill the ocean ! Ce discours est notamment tenu par Surfrider dans ses dernières campagnes, Bad Cosmetics ou encore le film saisissant The Drop, conçues également avec ici Barbès.
Dans cette nouvelle campagne, diffusée sur les réseaux sociaux avec une mécanique « tap to open », invite l’internaute à aller sur la story suivante pour ouvrir une bouteille aux allures de tortue. Après 1 clic, la tortue se retrouve décapitée, et le fameux message « Microplastics kill the ocean » apparaît.
Cette fois, l’organisation environnementale veut montrer les conséquences directes de cette pollution sur l’océan. Un phénomène qui impacte gravement la vie marine. De plus, Surfrider souhaite mobiliser les citoyens européens afin de soutenir une interdiction immédiate de ces microplastiques auprès de la Commission Européenne.
Le message est donc clair : l’océan ne pourra bientôt plus être sauvé, alors agissons vite !