En 2020, les Français étaient nombreux à avoir planifié un voyage. Un projet qu’ils avaient mis du temps à préparer. Et puis le confinement est passé par là et tout s’est envolé… Sauf leur envie de voyager. C’est notamment le cas de Jonathan Bertin, qui devait partir à Tokyo en novembre dernier pour le voyage d’une vie. Mais tout comme un livre peut nous transporter ailleurs, n’y aurait-il pas d’autres moyens pour se rendre à l’autre bout du monde ?
My 2020 Travel Project
Alors que le jeune photographe pensait ne jamais pouvoir réaliser son rêve, il s’est mis à envoyer des appareils photo aux 4 coins de Tokyo pour récupérer les souvenirs qu’il n’a pas pu se créer. Au total, 30 colis ont été expédiés aux adresses où il avait prévu d’aller. Le tout sans connaître les destinataires et sans savoir s’ils allaient jouer le jeu. Ainsi, en plus de contenir 1 appareil photo, le paquet contenait 1 lettre expliquant sa démarche ainsi que le nécessaire pour lui renvoyer.
Résultat ? Déjà plusieurs appareils lui sont revenus avec des photos inattendues et d’autres pellicules continuent d’arriver. Ce projet artistique se solde sur un film intimiste retraçant toute l’aventure ; un livre concept tiré à 30 exemplaires présentant une sélection des 30 meilleurs clichés ; et un site dédié avec les photos mis à jour régulièrement.
Ce projet artistique a été rendu possible par Flying Blue et son agence Isobar.
Flying Blue fait voyager ses 20 millions de membres
Cette escapade atypique à travers le regard du photographe Jonathan Bertin, est au coeur d’une campagne proposée par Flying Blue et son agence Isobar. En effet, le programme de fidélisation du groupe Air France-KLM souhaitait faire voyager ses 20 millions de membres autrement.
« My 2020 Travel Project, c’est un projet artistique et émotionnel qui met en lumière une nouvelle façon de voyager. {…} Tout comme dans un « vrai » voyage, celui-ci est basé sur le lien et l’aventure : qui vais-je rencontrer ? Où cette rencontre va-t-elle m’emmener ?»
« Avec cette campagne, Flying Blue garde le lien avec les membres du programme comme tout au long de cette période tellement particulière. Elle s’adresse à tous les passionnés du voyage, de la découverte et des rencontres humaines. {…} Il fallait trouver le moyen de faire résister le rêve et toutes les sensations liées au voyage. » – Cécile Bitoun, Directrice Générale d’Isobar.