Marketing et communication : top 5 des métiers qui recrutent le plus en alternance

En collaboration avec l'Istec
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L’alternance est réputée pour être la voie royale vers l’emploi. En plus de former à la réalité du terrain, elle permet à la fois aux apprenants de se familiariser avec un vocabulaire et une méthodologie, et de se faire une meilleure idée d’un métier. Le marketing et la communication n’y échappent pas ! D’ailleurs, les écoles s’adaptent et proposent aujourd’hui de nombreux cursus en alternance spécialisés, pour les mordus de mercatique et de communication.

Mais alors quels sont les métiers les plus convoités ? La team de J’ai un pote dans la com vous présente le top 5 des métiers les plus pourvus en alternance dans le marketing et la communication.

 

1. Le Développeur web ou le polyglotte

Le développeur web détient la première place sur le podium des métiers les plus recherchés dans le monde du numérique. Sur tous les fronts, le développeur full stack doit détenir des compétences en matière de front-end, back-end, architecture… En bref, Internet n’a aucun secret pour lui.

Généralement, ce sont des profils très polyvalents, de véritables couteaux suisses qui savent manier à la perfection tous les outils de la programmation. Les missions attribuées au développeur web ne sont jamais les mêmes, il n’y a donc aucune chance pour qu’il s’ennuie dans son quotidien. En effet, il passe par la création de logiciels, aux sites web, mais aussi des applications, tout en rédigeant et créant des codes informatiques.

En chiffres, un développeur junior gagne en moyenne 35 000 € bruts par an lors de ses premières années. Avec le temps et l’expérience, le revenu annuel avoisine les 55 000 € bruts.

Pour atteindre cet objectif, il faut passer par une formation sur 5 ans, avec un BTS informatique suivi d’une école d’ingénieurs en alternance pour travailler au mieux l’employabilité.

 

2. Le Community manager, un mouton à 5 pattes

Véritable magnat des réseaux sociaux, le community manager ou social media manager, doit être capable de combiner plusieurs missions. En effet, les yeux rivés sur son écran, il jongle parfaitement entre le marketing, les relations marques-consommateurs, le développement commercial et la communication interne d’une marque.

En symbiose avec les exigences des clients, il s’adapte à la ligne éditoriale à suivre, veille à la modération des échanges et est capable de gérer une situation de crise. Avoir une e-réputation irréprochable est essentiel. C’est pourquoi, il est primordial de fédérer une image de marque soignée et attirante en jouant avec les valeurs d’une entreprise pour accroître sa popularité. De TikTok à Facebook, en passant par Instagram et LinkedIn, le social media manager maîtrise les processus de production de tous les formats (rédaction, photos, vidéos…). Le tout avec une culture générale et digitale sans faille !

En moyenne, un community manager peut gagner 35 000 € bruts par an en fonction de son niveau d’expérience. Le salaire varie avec les années, mais aussi selon la taille de l’entreprise.

En termes de formation, le poste de community manager est accessible en alternance, notamment grâce aux universités, écoles de journalisme, marketing digital, mais aussi IAE & IEP.

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Crédit photo : Adobe Stock / @maxbelchenko

 

3. UX designer, responsable de l’expérience client

Troisième sur le podium des métiers les plus recherchés en alternance, l’expert UX/UI designer, ou garant de l’efficacité du parcours utilisateur, doit véritablement penser comme s’il était le client en toutes circonstances. Il détient un grand sens de l’observation afin de rendre une interface web toujours plus ergonomique et intuitive.

Aude Farez Merloni, Responsable de la spécialisation Marketing International du Luxe au sein de l’Istec ; précise : « Alors que le retail, tous secteurs confondus, travaille en amélioration continue sur l’expérience client, le digital ne fait pas exception et il est urgent de repenser le contact à la marque, à distance. »

Ainsi, par le biais de sondages, d’études approfondies ou bien encore d’interviews, l’UX designer conçoit et réalise des prototypages pour améliorer l’expérience des visiteurs quotidiennement. Empathique et vigilant, il doit surtout être capable de réagir rapidement dans l’intérêt des consommateurs.

« Le digital est un relais du retail. La problématique est donc d’offrir au client une extension de l’univers de marque, de l’expérience vécue en boutique. Le digital devient alors la porte d’entrée de l’univers de cette dernière, il est donc urgent de savoir transposer les valeurs de la marque, ses spécificités et son ADN pour offrir au client un contact aussi qualitatif et une expérience aussi riche que ses concurrents ayant pignon sur rue », détaille Aude Farez Merloni. Elle conclut : « L’UX design devient alors essentiel à la dynamique de l’offre, permettant à l’ensemble des marques de coexister sur le web, quelle que soit leur force de frappe. »

Doté de compétences en graphisme, en marketing ainsi qu’en règles de mise en page, l’UX designer s’adapte aux évolutions du secteur digital. Pour les profils juniors, le salaire annuel s’évalue aux alentours des 30 000 € bruts par an. Avec de l’expérience et des missions plus importantes, la rémunération atteint les 50 000 € bruts annuels.

Ce poste n’a pas de formation attitrée, toutefois les cursus digitaux, multimédias et 100% informatiques permettent d’atteindre ce genre de métier. Généralement, il est recommandé d’effectuer 5 années d’études avec de l’alternance pour une totale connaissance du métier.

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4. Le Data scientist, spécialiste de l’analyse

Placé en quatrième position, le métier de Data scientist fait partie des professionnels du marketing digital que les recruteurs s’arrachent. Il est très convoité pour ses capacités en matière de traitement et d’exploitation de données. Stratégiquement et efficacement, il classifie les informations à partir de données brutes, avec l’objectif d’accroître le chiffre d’affaires d’une entreprise.

Aude Farez Merloni, Responsable de la spécialisation Marketing International du Luxe au sein de l’Istec, explique : « Il est essentiel de s’entourer d’un spécialiste du digital, maîtrisant les différents comportements du consommateur, qui permettra à la marque de pénétrer le marché. » Elle ajoute : « Si l’on considère que 50% des achats de la génération Z se font en ligne contre 30 % pour l’ensemble des autres générations (Source : Etude Odexa pour la Fevad, 2022), toutes tranches confondues, on comprend alors que le digital est au cœur des démarches d’achat des consommateurs de demain. De même, alors que 90% de la population est aujourd’hui ouverte à la consommation en ligne, les natifs de la génération Z le sont à 97%, pour des raisons de praticité mais aussi par conviction. D’où l’importance d’étudier leurs différents comportements pour mieux les atteindre et les fidéliser. »

En tant que junior Data analyst, le salaire oscille entre 35 000 € et 40 000 € par an. Après 4 ans d’expérience, il pourra dépasser les 50 000 € bruts par an.

Pour les passionnés d’outils de traitement numérique et de chiffres, il est nécessaire d’effectuer une formation de 5 ans en école d’ingénieurs avec une spécialité en statistiques. Certains cursus universitaires proposent une formation spécifique en alternance pour aiguiser les capacités dès les premières années d’études.

 

5. Consultant SEO, maître du référencement

Acteur essentiel dans la vie d’un site web, le chargé de référencement naturel ou consultant SEO s’attelle à un seul objectif : devenir LE meilleur ami de Google.

Pour optimiser la visibilité et le trafic d’un site internet, il se doit d’être placé en tête de liste sur les moteurs de recherche. C’est donc le rôle de ce chargé de référencement naturel, qui doit connaître tous les rouages et secrets du SEO. Il doit pouvoir atteindre ses objectifs tout en satisfaisant à la fois les internautes et les robots (« crawlers ») qui viennent filtrer les pages web pour évaluer la qualité.

En début de carrière, le salaire annuel débute entre 25 000 € et 30 000 € bruts par an. Avec de l’expérience, la rémunération annuelle atteint rapidement les 40 000 € annuels bruts.

Le consultant SEO peut se former grâce aux écoles digitales qui proposent des cursus en formation continue ou en alternance sur 5 ans.

« Si vous appréciez travailler dans des agences web ou dans des grands groupes, cette fonction de consultant SEO est totalement faite pour vous. La grande différence étant l’implication sur des projets et des univers très divers, dans le premier cas, ou sur la recherche d’améliorations constantes du positionnement dans les résultats des moteurs de recherche, dans le deuxième cas », témoigne Yves SOULABAIL, Enseignant-chercheur au sein de l’Istec Paris.

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Crédit photo : Adobe Stock / @NDABCREATIVITY

 

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