Le voyage commence ici. Après deux années de succès retentissant, le rhum Premium Don Papa, au caractère aussi volcanique que la terre dont il est issu, annonce l’ouverture de sa 3ème Casa Don Papa, pop-restaurant Philippin. Alors, préparez vos valises et rendez-vous au 4 Rue Rampon dans le 11ème arrondissement de Paris, du 20 septembre au 26 octobre prochains !
Cette année, la marque renforce son concept et propose un espace de vie unique qui promet une immersion totale dans l’univers envoûtant des Philippines. L’occasion pour l’équipe de J’ai un pote dans la com de réaliser une interview exclusive de Sébastien Gouynou, Responsable Marketing et Commercial (Diaego) et Adeline Cado, Cheffe de Projet (Wild Buzz Agency)
Une évasion inoubliable
La Casa Don Papa n’est pas seulement un lieu de dégustation, c’est une invitation à explorer, à savourer et à s’émerveiller. Chacun des quatre espaces a été pensé pour refléter l’essence et l’authenticité des Philippines. En franchissant les portes du restaurant, les clients se retrouveront plongés dans les paysages luxuriants de l’île de Negros qui a vu naître cette marque de rhum mondialement connue.
Le restaurant de la Casa, un incontournable qui ravira vos papilles
Le restaurant s’inspire des maisons traditionnelles philippines, les « nipa huts », avec une décoration végétale et naturelle. Sous la houlette du chef Danny Khezzar, chouchou de la saison 2023 de Top Chef, les visiteurs pourront déguster une cuisine inspirée de son propre voyage aux Philippines. Le menu comprend une entrée, un plat, un dessert parmi différentes propositions et un cocktail en pairing au choix. Celui-ci sera disponible au tarif unique de 60€ par personne.
La table du chef : la Kanlaon Table, pour les VIP
Rendez-vous dans un décor rocheux faisant référence au Mont Kanlaon sur l’île de Negros. L’ambiance y est chaude et englobante, et donne l’impression de pénétrer dans une grotte de lave. Au cœur de cet espace se trouve une table imposante, où l’on peut voir le tracé de l’île ainsi que les endroits historiques de Don Papa. La table est proposée pour l’organisation des dîners privés jusqu’à 12 personnes, sur réservation.
Le cabinet de curiosités, pour aller encore plus loin !
Et durant cette parenthèse, pourquoi ne pas aller découvrir le cabinet des curiosités ? Bien plus qu’une collection d’objets, cet espace est une véritable invitation à vivre une expérience immersive et sensorielle. Une ode aux Philippines et à son riche patrimoine. Chaque artefact, chaque détail raconte une histoire, une tradition, une légende, ou un secret de cet archipel.
Et si vous en profitiez également pour prendre part à une expérience immersive et sensorielle novatrice ? La jungle musicale a été créée afin de plonger les clients, pourtant en plein cœur de Paris, dans la jungle luxuriante de l’archipel. Si vous recherchez un lieu végétalisé dans le brouhaha citadin, la jungle musicale ne vous décevra pas, grâce à une expérience interactive et immersive. Aux nostalgiques de la nature, voici un ersatz avant vos prochaines vacances !
Let’s go dancing : le festival Masskara
Inspiré par le célèbre festival Masskara de Bacolod, ce club retranscrit la richesse culturelle des Philippines à travers un moment festif. Programmation musicale détonante, jeux de lumière, décoration végétale vibrante et éclairage tamisé plongeront les visiteurs dans une expérience unique de la capitale. À ce rythme, plus aucune raison de refuser de danser ! Pour ceux qui souhaiteraient prolonger le voyage, une programmation sur mesure les attendra dans ce même club pour vibrer jusqu’au petit matin avec Masskara.
La Casa Don Papa sera accessible au public du vendredi 20 septembre au samedi 26 octobre 2024. Elle sera ouverte du lundi au samedi. Le restaurant proposera deux services, l’un à 19h00 et l’autre à 21h00. De son côté, le club ouvre ses portes de 21h00 à 4h00 du matin, de quoi satisfaire les couche-tôt, et les couche-tard !
Interview exclusive de Sébastien Gouynou, Responsable Marketing et Commercial (Diaego) et Adeline Cado, Cheffe de Projet (Wild Buzz Agency)
JUPDLC : D’où est venue l’idée originelle de créer un lieu de vie éphémère ? Quels objectifs ? Pour qui ?
Sébastien Gouynou : L’idée originelle est arrivée il y a trois ans, en septembre 2021 alors que je regardais « Chef’s Table » sur Netflix. Je me suis dit pourquoi ne pas ouvrir un restaurant éphémère Philippin ? En effet, la cuisine Philippine n’est pas très connue chez nous. Elle commence à l’être dans certains pays anglo-saxons, mais pas encore en France.
En France, les gens demandent de nouveaux restaurants, à tester de nouvelles spécialités culinaires. Je me suis alors demandé comment on pouvait intéresser les gens à Don Papa par le prisme de la gastronomie. C’est pourquoi depuis trois ans maintenant, on cherche à mettre en avant la gastronomie Philippine.
JUPDLC : Quels ont été les retours d’expériences du public sur les précédentes éditions ? Comment les avez-vous intégrés dans cette nouvelle édition de la Casa Don Papa ?
Sébastien Gouynou : Sur les premières éditions, ce qui manquait, c’était une scénographie renforcée avec ce côté full immersion dans la jungle Philippine. Cette année, grâce à la scénographie, l’expérience sera complète, sans pour autant tomber dans l’appropriation culturelle. En plus du public, nous avons également eu des retours en interne sur les deux premières éditions.
On a donc lancé le premier projet avec une cheffe Philippine, Erica Peredes. Sur le second, l’année dernière, nous avions Whoogy’s qui est influenceur. Et enfin cette année, nous avons donc Danny, Chef apprécié sur les réseaux sociaux. Cette année, nous avons envoyé le Chef aux Philippines pour créer le menu, afin qu’il puisse trouver l’inspiration, la vraie. L’idée était vraiment de renforcer au maximum l’immersion dans l’univers de la marque.
JUPDLC : Pourquoi avoir choisi Wild Buzz Agency pour vous accompagner sur ce projet ?
Sébastien Gouynou : Les deux premiers évènements avaient été réalisés avec une autre agence. Cette année, on a décidé de lancer un brief ouvert. L’idée était de partir sur une nouvelle agence, et la proposition de Wild Buzz Agency était vraiment intéressante, ils ont bien saisi le mood de la marque. Et il se trouve que cette proposition coïncidait avec le budget alloué au projet, donc le choix s’est fait assez naturellement.
Adeline Cado : C’était effectivement un brief assez ouvert, on avait une belle carte blanche pour l’agence sur un projet très cool. Nous avions des éléments sur ce qui avait fonctionné ou pas l’année précédente. Cette année, notre objectif était de proposer une vraie expérience immersive, de pousser la scénographie au maximum.
Le projet n’a pas beaucoup changé depuis la première proposition, et il y a eu peu d’ajustements, ce qui est assez rare ! On a réussi à conserver le fil rouge et l’histoire que l’on voulait transmettre, qui a été alimentée par le voyage qu’on a fait. Quoi qu’il en soit, on avait hâte de voir le projet prendre vie.
JUPDLC : Vous avez renforcé votre concept créatif. Quels changements entre les précédentes éditions et celle-ci ?
Sébastien Gouynou : En effet. Déjà, nous avons mis un peu plus de budget derrière le projet. L’idée était de pousser les curseurs au maximum et je pense que nous avons été bien accompagnés avec Wild Buzz.
Ils ont bien appréhendé l’esprit et les valeurs de la marque, et ont proposé une superbe scénographie, ainsi que le Chef Danny Khezzar qui sort de Top Chef. Celui-ci était finaliste et a donc déjà beaucoup de notoriété, il correspondait bien à l’image de la marque avec son côté fun et décalé !
Adeline Cado : On avait déjà travaillé avec Danny sur un projet il y a un an, il sortait de la saison 13 de Top Chef, et avait une grosse croissance sur les réseaux sociaux. Il n’avait pas fait énormément de collaborations, et nous avons réussi à l’avoir à ce moment-là.
L’idée est vraiment d’avoir un profil qui matche avec l’ADN de la marque, et qui ne soit pas vu et revu. Danny possède ce côté très atypique dans sa façon d’être. J’ai eu la chance d’être avec lui lors du voyage aux Philippines, et il a ce côté très social, il est axé sur le partage, et il est toujours très inspiré par la cuisine. Aujourd’hui, la carte présentée est belle, travaillée. Il a ce côté très créatif qu’on retrouve dans sa cuisine.
JUPDLC : Combien de temps à l’avance prévoyez-vous ce type d’évènements ? Quelles sont les grandes étapes de conception ?
Sébastien Gouynou : Nous nous y prenons environ un an en amont. Tout d’abord nous identifions les budgets par activation dans le brand plan. Ensuite, on commence les démarches pour briefer les agences sur le concept et nos attentes.
En général, nous avons un retour de brief environ 1 mois après, et on déroule ensuite le rétroplanning proposé par l’agence.
La première étape a été de signer le Chef qui a été proposé, puis de l’envoyer aux Philippines avec une équipe de tournage. À son retour, on s’est mis sur la proposition du menu, qui a ensuite été validée rapidement. Nous avons également revu la proposition du concept créatif et le concept scénographie qu’on a validé avec l’agence.
Ensuite, il y a encore plusieurs étapes : la négociation avec le lieu pour les ventes de bouteilles, et enfin la mise en place de la scéno, puis le deal commercial avec l’établissement.
Adeline Cado : La prise de brief a eu lieu en février, et le voyage a été organisé très rapidement, donc on a vite pu passer à la modélisation. Nous avions encore quelques questionnements : Comment cela va vraiment rendre ? Quelle capacité avons-nous dans le restaurant ? Etc.
Il y a eu de petits ajustements par rapport au budget, mais globalement ça prend quelques mois. Il y a ensuite eu une période de rush au retour des Philippines, en juin, le moment où on a tout activé de notre côté : le travail de production, le sourcing pour se rapprocher au mieux de ce qu’on a proposé sur les 3D, puis ensuite les détails des éléments scénographiques.
« Tout s’est réactivé rapidement au retour du voyage, et là toute l’équipe scéno est arrivée, ils sont en non-stop sur toute la production. »
Le lieu qui a été choisi n’est pas ouvert en continu, c’est un lieu événementiel qui accueille pas mal d’événements privés. On avait déjà fait quelques opérations là-bas et ce qui est génial c’est qu’on peut le transformer complètement : mettre des éléments au plafond, transformer totalement le lieu selon l’ADN de la marque.
Pour ce qui est de la partie production, il y a un gros coup de rush depuis une semaine car c’est toujours plus complexe d’avancer durant l’été, que ce soit du côté annonceur ou agence. Tout s’est réactivé rapidement au retour des vacances, et là toute l’équipe scéno est arrivée, ils sont en non-stop sur toute la production. Tout se met en place et on gère les derniers ajustements si besoin !
JUPDLC : Quelle a été la stratégie pour augmenter la visibilité et la notoriété de la marque Don Papa ?
Sébastien Gouynou : Pour augmenter la notoriété de la Casa Don Papa, nous avons mis plus de budget de communication, dans l’objectif de créer ce qu’on appelle en anglais la « talkability« , afin que les gens puissent parler du concept. Ensuite, le fait d’avoir un Chef renommé permet également d’augmenter la notoriété du projet.
Le lieu a été choisi parce qu’il était idéal dans sa disposition. Nous avons plusieurs salles : la salle du restaurant, une autre qui est privatisable pour les groupes de 10-12 personnes, un cabinet des curiosités au sous-sol, et la partie club décorée autour de Masskara.
On active aussi de plus en plus les festivals avec notre référence Masskara, qui est plus « High Energy » que Don Papa Rum. Cette référence a un nom emprunt au festival MassKara, qui a lieu chaque mois d’octobre sur l’île de Négros, où est produit Don Papa. Il s’agit d’un festival musical où les gens sortent dans la rue déguisés et masqués.
L’idée, c’est d’aller chercher un profil un peu plus jeune, plus festif, et d’activer ce côté célébration entre amis.
Adeline Cado : Je crois qu’on a même trouvé le concept final lors de la découverte du lieu. Souvent, c’est comme ça que ça fonctionne : le concept va vraiment pouvoir prendre vie dans un lieu en particulier. Et là, pour le coup, on a vraiment pu créer ce parcours immersif avec tous les espaces, et tout ça avec un emplacement idéal !
JUPDLC : De nombreux lieux de vie éphémères voient le jour, mais nombre d’entre eux sont « vraiment » éphémères, et ne durent que quelques jours. Comment parvenez-vous à les faire tenir sur une durée aussi longue ? Quels autres types d’événements sont prévus pour promouvoir la marque Don Papa ?
Sébastien Gouynou : On y arrive grâce à la structure de l’événement en soi, où l’on s’appuie sur un restaurateur existant, pour qu’il puisse apporter son expérience et solliciter son équipe. Certes, l’atelier des artistes est un lieu qui n’est pas tout le temps ouvert au public, mais ils reçoivent tout de même des événements privés ou publics avec des marques.
On préfère s’appuyer sur des gens qui ont la connaissance de la restauration pour pouvoir mener à bien le projet. Et aujourd’hui, lorsque l’on met une scénographie en place, nous avons des coûts fixes, et ce peu importe la durée du projet. On mutualise donc les coûts sur un temps plus important, grâce à l’appui des équipes.
Le tout est de ne pas dépasser les deux mois, pour que le projet ne tombe pas aux oubliettes !
Adeline Cado : La force de Wild Buzz Agency est de créer un rythme pendant cette période d’ouverture. L’agence est non seulement en charge de la création de la scénographie, du tournage, du sourcing du chef mais bien sûr de la partie communication, programmation et remplissage. C’est l’ADN de WBA depuis 10 ans et nous sommes les spécialistes des lieux de vies dédiés aux marques.
L’agence est d’ailleurs à l’origine de concepts forts comme Plaza Havana Club, de Feat pour Hennessy, de l’Atelier 1664, La Casa Corona, et bien d’autres dans le monde des spiritueux. Nous maîtrisons la loi Evin comme personne. Nous sommes très heureux de cette nouvelle collaboration. Les réservations affluent, ça va être un énorme succès.
JUPDLC : Est-ce qu’il y a d’autres événements, d’autres projets qui se profilent pour Don Papa et éventuellement peut-être d’autres collaborations avec Wild Buzz ?
Sébastien Gouynou : Nous sommes une marque qui active beaucoup sur le terrain, et à 360°, plutôt dans des bars et restaurants. On fait également des Summer Tour, on vient d’ailleurs d’en finir un cet été. Nous allons également refaire un Winter Tour l’année prochaine. L’idée est de nous rendre dans des stations de ski et d’activer de nombreux établissements. On veut que toute la station sache que la marque est là !
On active également les établissements cavistes, avec notre équipe de Brand Ambassadeurs. Nous avons également participé au Printemps de Bourges, au V&B Fest, qui est un festival assez important qui appartient à un gros client. On a aussi bien évidemment la Casa, on ouvre des flagships qui nous permettent d’avoir des points de rencontre dans les grandes villes de France.
« Nous voulons que les gens s’amusent avec la marque. C’est comme ça que la marque restera dans l’esprit des consommateurs, car ils cherchent à vivre une expérience différente. »
En bref, on active un peu partout, notamment avec nos ambassadeurs. Et en plus de ça, on fait également de la communication avec des budgets assez importants. On a une vraie volonté d’activer à 360° pour faire vivre la marque auprès des consommateurs.
Chez Don Papa nous avons un « motto », c’est-à-dire un mantra : nous voulons que les gens s’amusent avec la marque. C’est comme ça que la marque restera dans l’esprit des consommateurs, car ils cherchent à vivre une expérience différente.
Si je prends l’exemple de Madame Loyal, il n’y a aucune marque qui active un festival de cette manière. Nous avons tout un espace dédié, nommé Sugarlandia, qui est le surnom de l’île où est produit Don Papa. On a travaillé étroitement avec les organisateurs afin de proposer aux festivaliers une expérience immersive autour de Masskara.
Nous avons décoré une tente géante, une scène DJ et 2 bars avec notre concept Neon by Nature. Nous avons également apporté des activations assez décalées avec un Hair stylist et des maquilleurs. Tout ça pour dire que notre objectif est vraiment d’élever l’expérience des festivaliers, d’impressionner pour marquer les esprits.
Pour en savoir plus sur WBA, rendez-vous sur sa page dédiée !