Pour chaque facteur évalué, les « 76% » donnent un score supérieur d’au moins 10% à la moyenne des interrogés, démontrant que ce segment a conscience de leur importance vitale et qu’il ne néglige ou ne privilégie aucun facteur en particulier.
Les « 76% » sont ceux qui déclarent le plus que leur PDG ou direction générale mesurent ou surveillent la réputation de leur entreprise (83% contre 71%). Ce groupe reconnaît la valeur de la réputation et veille à la préserver en l’évaluant régulièrement.
L’étude montre que les « 76% » survalorisent le marketing et la communication par rapport aux autres interrogés, confirmant le rôle critique que ces services jouent dans la réputation d’une marque. Une tendance qui se confirme sur plusieurs items : la communication auprès du public et des collaborateurs (67% contre 57%), auprès des réseaux sociaux (63% contre 53%) et la présence des dirigeants sur les réseaux sociaux (61% contre 51%).
Les « 76% » constatent, plus que les autres, que leur direction a mentionné la réputation de leur entreprise auprès des salariés l’an dernier (83% contre 69%). De la même façon, ceux qui travaillent pour des sociétés cotées ont davantage tendance à dire que le sujet est abordé lors des communications financières (74% contre 57%). La réputation est désormais un élément stratégique quel que soit le public, interne comme externe.
Si la majorité des cadres pense qu’il est important que les PDG soient accessibles pour contribuer à la réputation de l’entreprise, les « 76% » considèrent que la visibilité a une plus grande valeur encore. Le PDG devrait selon eux être présent sur les réseaux sociaux (67% contre 59%), être actif auprès de la communauté locale (74% contre 68%), gagner des récompenses ou être présent dans les classements des meilleurs dirigeants (70% contre 64%). La visibilité du ou des dirigeants est la clé de voûte de la réputation et de la performance d’une entreprise ; elle devrait faire partie intégrante de tout programme réputationnel.