Pourquoi travailler dans l’événementiel en 2024 ?

En collaboration avec l'ISEFAC
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Le marché de l’événementiel n’a pas fini de faire parler de lui ! Et pour cause : après une période plus que compliquée et marquée par la limitation des interactions physiques due à la Covid, nombreuses sont les personnes qui ont souhaité retrouver le bonheur des interactions humaines, du live, et du physique !

Dans ce contexte, le secteur a toujours su se réinventer. En perpétuelle transformation, à l’ère du tout digital, du phygital et à l’approche des Jeux Olympiques, les challenges à relever sont de taille. Dans ce contexte, comment les professionnels du secteur parviennent-ils à s’adapter aux nouveaux usages et tendances ? Quels sont les métiers qui composent le secteur de l’événementiel ? Et surtout, pourquoi s’orienter vers ce secteur ? Pour y répondre, nous avons rencontré Marie Meunier, Directrice de projets événementiels et intervenante à l’ISEFAC.

 

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Marie Meunier / ISEFAC

JUPDLC : L’événementiel a connu une période compliquée après la Covid et les confinements successifs. Qu’en est-il de l’état du marché actuel ?

Marie Meunier : Après la période Covid, le secteur a repris à fond. Il faut dire qu’il y avait du temps à rattraper, et nous avons tous ressenti le besoin de créer du lien après une longue période de télétravail. Les stratégies événementielles sont donc primordiales dans la communication des entreprises : créer des liens durables, faire vivre des émotions, créer des rencontres et partager des expériences, pour les individus comme pour les marques ! Le marché est largement reparti avec beaucoup de projets, d’événements en tous genres et plus encore avec les JO qui arrivent à grands pas.

C’est donc une bonne nouvelle pour notre secteur, même si la période n’est pas simple : guerres, vigilance attentats, inflation, pénurie de staff… Une fois de plus, les contextes extérieurs nous obligent à être agiles et à faire preuve d’une grande capacité d’adaptation. L’inflation complique les choses (budgets clients restreints, coûts des prestations en hausse) et on manque toujours de monde : malgré la reprise énorme, le départ de nombreuses personnes post-covid a laissé des traces, notamment sur la capacité à répondre aux demandes des donneurs d’ordre. Et le tout avec des délais de création et de production qui ne changent pas vraiment, toujours très courts… Que de défis ! Auxquels s’ajoutent, bien évidemment, ceux de l’écoresponsabilité et des nouvelles technologies.

 

JUPDLC : En quoi les Jeux Olympiques vont-ils faire de 2024 une année charnière de l’événementiel ?

Marie Meunier : On dit qu’il y a un avant et un après JO ! C’est une année exceptionnelle, qui va faire rayonner notre secteur, notre savoir-faire de concepteurs et d’organisateurs mais qui ne va pas être simple. Les JO vont prendre une très grosse place, que ce soit en termes de disponibilité des professionnels, de prestataires qui vont être, pour certains, trop débordés pour répondre à d’autres projets, sans parler des lieux difficiles à booker. Tout cela a forcément une répercussion sur l’ensemble de notre activité. Pour les professionnels, il y a ceux embarqués sur les JO qui sont très pris, ceux qui hésitent encore à rejoindre l’aventure et ceux qui ont décidé d’assurer tous les autres événements ! Récurrents ou non, corporate ou culturels, petits ou gros…

Cependant, le monde événementiel ne s’arrête pas de tourner et tout n’est pas que JO. Certains hésitent à abandonner leurs missions ou clients habituels et à ne travailler que sur les JO (difficile de faire autrement dans les missions actuelles), laissant par conséquent la place libre à d’autres freelances, mais aussi une potentielle difficulté à revenir une fois les JO terminés. Participer à l’organisation des JO c’est exceptionnel mais c’est aussi un « one shot » … Cela mérite donc réflexion, notamment pour un certain nombre de freelances.

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Crédit photo : Bence Boros / Unsplash

 

JUPDLC : Comment le domaine de l’événementiel s’adapte-t-il aux transformations sociétales ? (Prise en compte de l’écologie, transformation digitale, arrivée des IA…)

Marie Meunier : « On s’adapte », comme le répète si bien Jean-Pierre Bacri dans Le sens de la Fête ! L’adaptation, un mot qui résume bien une des exigences de l’événementiel, et au cœur de notre métier : l’adaptation aux clients, aux envies, aux tendances, aux contextes, aux aléas… Et c’est également une de ses forces.

Dans les grandes évolutions (voire mutations), l’écologie – et au-delà la RSE – est un enjeu majeur. Cela fait déjà de nombreuses années que le secteur événementiel a commencé sa mutation, mais c’est un peu lent et le chemin est compliqué : réalités budgétaires, méconnaissance des solutions, réapprentissage des méthodologies de production… Le sujet de l’écoresponsabilité des événements a longtemps été placé au second plan parce que difficile à réaliser.

« Il est possible de changer ces habitudes de conception et de production, de prendre de nouveaux réflexes pour intégrer l’écoresponsabilité dans nos événements »

Cependant, l’accélération est là, visible dans les événements et à plusieurs niveaux. Tout d’abord chez les prestataires, dans les solutions et engagements proposés. Mais aussi chez les clients, dans leur brief (souvent pour une communication qui soit plus en accord avec leurs engagements), dans les conceptions et productions des agences qui intègrent l’écoconception et des productions plus responsables, proposant de plus en plus des mesures d’impact… Même si ce n’est malheureusement pas encore tout le temps ni pour tous les événements !

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Dans ce contexte, il est possible de changer ces habitudes de conception et de production, de prendre de nouveaux réflexes pour intégrer l’écoresponsabilité dans nos événements. C’est aux acteurs de l’événementiel de s’emparer de ce sujet et aux jeunes débutants de l’inclure dès le début d’un projet. Cela ne doit plus être un objectif, mais une obligation.

« Dans les grandes tendances 2024, on parle évidemment de l’arrivée de l’IA pour le grand public »

Pour ce qui est de la transformation digitale, elle a déjà eu lieu. Plateforme d’inscriptions, applications de networking, VR, AR, streaming… Le digital est présent à plus ou moins grande échelle sur tous les événements, que ce soit dans les contenus et les expériences, dans la logistique pour la gestion des participants ou celle de la data. Les outils sont là et ils permettent d’optimiser, de faciliter, de fluidifier les organisations, d’enrichir et de créer des expériences immersives et personnalisées.

Dans les grandes tendances 2024, on parle évidemment de l’arrivée de l’IA pour le grand public, et par conséquent, dans notre secteur. Je remarque que le sujet fait parfois débat : il y a quelques réfractaires, à « l’ancienne » et ceux qui y voient un nouvel outil puissant. Évidemment ça l’est ! L’IA fait gagner du temps à nos métiers, que ce soit aux concepteurs rédacteurs, aux graphistes ou au directeur logistique. Cela nous permet d’optimiser le temps de travail et de générer des idées comme on le ferait en brainstorming par exemple ! L’IA fait déjà partie de nos métiers, et est déjà utilisée par des agences. Les étudiants doivent l’intégrer dans leur apprentissage comme ils intègrent des logiciels et des outils. Par exemple, pour la DA ou le graphisme, les étudiants ont rarement les compétences de roughers pour la visualisation des scénographies proposées lors de divers projets. De fait, l’IA peut leur permettre des rendus visuels efficaces et accessibles pour enrichir leurs présentations.

 

JUPDLC : Quels arguments donneriez-vous à un étudiant qui souhaite se lancer dans le secteur ?

Marie Meunier : C’est un monde passionnant et enrichissant. On ne s’ennuie jamais !
Chaque projet est un nouveau défi à relever et c’est très motivant. Pour reprendre l’expression des étudiants, « c’est kiffant » de voir son projet se concrétiser : un projet qu’on a (peut-être) imaginé, qu’on a fabriqué, porté et que l’on voit jouer pour des participants qui vivent ce moment comme nous l’avons imaginé !

Et pendant tout ce temps de production, nous apprenons toujours beaucoup (le secteur du client, un produit à lancer, une nouvelle typologie d’événement…), nous découvrons (des univers, des nouvelles technologies, des animations, des lieux…), nous rencontrons et « réseautons » (de nouveaux free, prestataires…).

En bref, nous nous enrichissons au sens noble du terme : chaque événement nous construit et nous nourrit. C’est grisant ! Nous ne sommes jamais seuls, nous faisons toujours partie d’une team, solidaire, embarquée dans une aventure toujours intéressante, avec des journées qui ne se ressemblent pas, remplies de beaucoup de moments de joies et de rires !

Mais soyons clairs, tout n’est pas rose tous les jours ! Qui dit défi, challenge, aventure dit aussi difficultés, imprévus, stress… D’où l’importance de l’équipe, et aussi d’une bonne connaissance de soi et de ses limites, d’une certaine résistance.

 

JUPDLC : Auriez-vous des exemples de secteurs précis de l’événementiel dans lesquels vos étudiants peuvent s’orienter ?

Marie Meunier : Une des richesses de ce domaine, c’est son large éventail. Il y a de la place pour presque tout le monde ! Il y a de nombreux secteurs (sport, luxe, culturel, corporate, associatif, salons, tourisme d’affaires, festivals…), de nombreux métiers (gestion de projet, conception, design, graphisme, scénographie, production, logistique, technique, régie, data…), et également de nombreux acteurs (les services com et event chez l’annonceur, les agences, les prestataires, les lieux…).

De mon expérience, mes lectures et discussions, la majorité de l’activité événementielle (on entend parfois le chiffre de 80%) est lié au MICE ou au corporate ; si le travail est en grande partie là c’est parce que les entreprises ont toujours des besoins et des budgets pour communiquer, fédérer, vendre. Et ce que ce soit en interne, pour le business ou pour le grand public. Entre les voyages, les conventions, les soirées, le street marketing, les stands et salons, les pop-up… Cela représente énormément d’événements et donc beaucoup de business ! Maintenant, cela n’interdit pas d’aller vers les autres secteurs ! S’il y a bien un autre avantage à ce métier c’est que des passerelles existent entre tous ces univers.

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Crédit photo : Jakob Dalbjörn / Unsplash

 

JUPDLC : Après un Bachelor événementiel à l’ISEFAC, quels métiers sont accessibles aux étudiants ? Les débouchés sont-ils nombreux ?

Marie Meunier : A l’ISEFAC, les étudiants sont formés pour être chefs de projets événementiels polyvalents, en grande partie par le prisme de l’agence qui en fait des profils plus complets pour travailler soit chez elles, soit en freelance ou encore chez l’annonceur. Grâce à la formation scolaire et aux expériences de stage, ils peuvent également s’orienter vers la production ou vers la logistique (hospitality) en tant que chargé de production ou chargé de logistique.

Comme ils sont formés principalement en « mode agence », ils peuvent intégrer sans problème une agence événementielle, pour certains au planning stratégique, au pôle projet ou à la production. Ils peuvent également postuler dans les services communication ou événementiel des entreprises, n’étant pas formés pour être de simples organisateurs mais de véritables communicants !

« Certains se sont lancés en free dès leur diplôme »

Je les pousse aussi à considérer le monde des freelances. Aujourd’hui, je ne crois pas que la recherche du CDD ou CDI à tout prix soit l’unique voie ou « la voie royale » comme ce fut le cas pour ma génération. De toute évidence, en fixe ou en free, les avantages de l’un sont les inconvénients de l’autre. Mais on dit aussi qu’on gagne mieux sa vie en free ! C’est une question de personnalité mais aussi de prise de risques. Leur réticence tient à la peur de se lancer sans expérience. Ils pourraient oser, transformer toutes les expériences acquises lors des stages (et autres jobs étudiants), penser à utiliser leur réseau (Alumni, intervenants, étudiants).

Avec l’association des Freelances de l’Événementiel dont je suis membre active, nous essayons de sensibiliser et d’accompagner nos futurs jeunes collègues notamment sur ces aspects. Nous intervenons à l’ISEFAC pour leur présenter les aspects de la filière, nos projets, nos divers métiers en free, et pour les soutenir dans leur démarche : certains se sont lancés en free dès leur diplôme en poche et nous avons plaisir à les retrouver sur des missions en agence !

 

JUPDLC : Pensez-vous que les métiers de l’événementiel pourraient être qualifiés de métiers « passion » ? Pourquoi ?

Marie Meunier : Travailler dans l’événementiel est passionnant ! Que ce soit de la direction logistique, de la production, de la technique, de la conception, de la gestion de projet ou tout autre métier, tous ses acteurs vous diront que ce qui les anime est la passion. Et ce en raison de la créativité, de l’engagement et de l’enthousiasme nécessaires pour exercer nos métiers. Les professionnels de l’événementiel ont à cœur de créer des expériences mémorables et sont motivés par le désir de rendre chaque événement unique et réussi.

Et qui dit passion dit également épanouissement et bonheur de travailler. Notre quotidien est rempli de découvertes, rencontres, partages, fous rires ou de petits moments de joie. La passion rime également avec souplesse, adaptation, investissement, surpassement parfois, pour créer, avancer et tenir quand il le faut. Chaque projet est un nouveau défi, et certains sont plus complexes que d’autres ; alors il faut quand même le dire, il y a des jours difficiles ! Pour moi, faire ce métier de manière détachée ou juste pour de « l’alimentaire » est impossible : on ne pourrait pas tenir, on ne pourrait pas s’investir. La frontière vie perso, vie pro est floue, on ne débranche pas notre cerveau une fois le bureau quitté ! Il importe d’aimer ce qu’on fait, d’apprendre à gérer son écosystème. Il faut tout cela pour créer de la magie et des expériences clients significatives !

 

JUPDLC : Quelles sont les exigences spécifiques à ce secteur ?

Marie Meunier : On vient de le dire, il faut être fondu de son métier. C’est un secteur passionnant, dynamique mais aussi exigeant.

Tout d’abord, on ne le dira jamais assez trop, il faut beaucoup de curiosité. L’événementiel demande de la culture générale et événementielle, de comprendre les tendances sociétales, de connaître les innovations… Tout est en perpétuel renouvellement (nouveaux formats, nouvelles technologies etc…) et il faut être à l’affût. Que ce soit pour la créativité afin de trouver des concepts originaux et innovants, ou pour trouver des solutions techniques et logistiques, il faut avoir des connaissances et des expériences, se constituer une sorte de base de données. Pour cela, il est important de « se nourrir » par des lectures, des recherches, des événements, des repérages, des rencontres, des productions etc. Personne ne part d’une page blanche !

Ensuite, je dirais qu’il faut travailler son réseau. C’est un métier où l’humain est la ressource et le sujet principal. On ne monte pas un événement seul, on ne gère pas les aléas seul, on ne trouve pas des solutions seul, tout comme on ne vit pas les expériences seul. Savoir s’entourer, entretenir son réseau de prestataires, de freelances, de clients est essentiel voire vital.

L’événementiel c’est être flexible, réactif et s’adapter sans cesse. L’organisation étant au cœur de l’activité, il faut évidemment de la méthodologie et de la rigueur dans le travail. Chaque détail compte et chaque erreur a généralement un effet boomerang. De plus, la gérer son temps est primordial : meilleur ami ou pire ennemi, il passe toujours trop vite et est au centre des projets ! Enfin, les aléas et imprévus génèrent souvent du stress qu’il faut apprendre à gérer. En revanche, à l’approche de l’événement, il y a toujours une certaine adrénaline galvanisante !

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Crédit photo : Pablo Heimplatz / Unsplash

 

JUPDLC : Selon vous, pourquoi la polyvalence est-elle une qualité essentielle pour travailler dans le milieu ?

Marie Meunier : La polyvalence est une qualité essentielle et un atout dans ce milieu. Je dirais qu’elle vous permet de « naviguer » plus efficacement. Je dis souvent aux étudiants que nous sommes des facilitateurs et que notre métier c’est de trouver des solutions pour tout et à tout. Cela fait donc une grande diversité dans nos tâches, et plus nous en connaissons les contours ou les aspects, plus nous sommes efficaces et à l’aise.

Dans notre milieu, il faut mobiliser ses ressources personnelles car l’événementiel fait appel à un grand nombre d’expertises (c’est d’ailleurs ce qui en fait sa richesse) : de la conception à la production, en passant par la gestion de la commercialisation, de la technique, de la sécurité, de la logistique ou de la réglementation…
Évidemment l’idée n’est pas de toutes les maîtriser, c’est pour cela que vous travaillez en équipe, avec des prestataires que vous allez coordonner ! Mais l’idée est d’en connaître un large spectre. Plus vous connaissez les univers, les domaines des uns et des autres, meilleurs pilotes vous êtes : échanges facilités, cahiers des charges plus respectueux, meilleures compréhensions des devis… Et la polyvalence, dans les équipes réduites d’organisateurs, permet d’être plus souple et de mieux s’adapter aux différentes situations.

 

JUPDLC : Comment imaginez-vous l’univers de l’événementiel dans 5, 10 ans ?

Marie Meunier : Toujours là, toujours important, toujours essentiel. On le sait, l’être humain est un être social et à ce titre on aura toujours besoin de se retrouver autour d’un événement, d’une célébration ; que ce soit en live, en digital ou en hybride !

J’ai fait des études de com, et je suis très attachée aux relations humaines. J’ai vu dans la com événementielle le meilleur moyen de transmettre une idée, un message, une nouveauté, une émotion… Ce média « chaud » comme on le définit, a mis du temps mais à acquis ses lettres de noblesse. Et le passé l’a montré : communiquer, fédérer, créer du lien est d’autant plus utile en temps de crise. Le secteur a de l’avenir assurément mais comment prédire son évolution ? ! C’est par essence même un secteur en perpétuelle adaptation !

« J’imagine des événements éco-conçus, éco-produits et inclusifs »

Je vois bien les multiples évolutions ces 25 dernières années – depuis que j’y travaille – et il est certain que le métier va encore évoluer d’ici à 10 ans en s’adaptant aux nouveaux contextes sociétaux et climatiques notamment. D’autre part, je crois que les individus vont être à la recherche d’encore plus de proximité, d’écoute et de qualité dans les liens. Les gens sont sursollicités, il y a beaucoup d’offres événementielles, que ce soit les expériences de marques, les événements professionnels, festifs ou culturels.

Donc j’imagine beaucoup plus de « petits » événements, à taille humaine, permettant de vivre des expériences plus significatives, pour que chacun se sente privilégié ou écouté. Enfin, j’imagine des événements éco-conçus, éco-produits et inclusifs, d’un bout à l’autre de la chaîne. Ça peut paraître paradoxal d’aller vers un monde plus durable avec des événements, par nature éphémères. Pourtant les 2 doivent pouvoir cohabiter, en repensant les conceptions, les productions, les déplacements ; en évitant les gaspillages et en retravaillant les postes les plus énergivores, en cherchant toujours plus de sens, en évitant le superflu, et enfin en adoptant une démarche complètement écoresponsable.

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Crédit photo : Piero Huerto Gago / Unsplash

 

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