Accompagné de l’agence Hungry and Foolish, Biocoop détourne le traditionnel poisson d’avril, du 1er dudit mois. La société dévoile une campagne en effet un « Poison d’avril » pour alerter sur les effets toxiques des pesticides chimiques de synthèse sur l’environnement et la santé humaine. L’occasion d’ailleurs pour elle de réaffirmer ses engagements et sa lutte contre ce fléau.
Une campagne qui vient rappeler une mission !
L’agence Hungry and Foolish a su mettre en avant les engagements de ce N°1 des magasins Bio, dans cette campagne ingénieuse. Une prise de parole engageante et de sensibilisation, qui tire sa force de la popularité du poisson d’avril pour toucher le plus grand nombre ! Elle a en effet été déployée dès le 1er avril dernier pour un maximum d’impact. Et ce, sur l’ensemble de l’écosystème digital et social de la marque.
En effet, Biocoop va plus loin que les cahiers des charges de l’Agriculture biologique (AB) ou des cosmétiques écologiques. La coopérative s’engage à ne sélectionner que des produits conformes au mode de production biologique. Et ses atouts sont nombreux et prometteurs pour l’environnement.
1. Des ingrédients de qualité
Pour les produits sélectionnés, Biocoop exige un maximum d’ingrédients bio. Elle ne propose pas les tomates anciennes hybrides. Et elle ne propose surtout pas le dioxyde de titane (E 171) et de silicium (E 551) dans les produits alimentaires.
2. Une démarche de réduction de déchets
La coopérative s’engage, entre autres, à limiter le suremballage. Mais aussi à mettre en avant la consommation en vrac. Le but ? Réduire sa production de déchets.
3. Des cosmétiques certifiés
Biocoop tient à ce que ses fournisseurs priorisent l’utilisation de composants bio et qu’ils soient transparents quant à leurs listes d’ingrédients. D’ailleurs, l’ensemble des produits de soin rendus disponibles par la coopérative en magasin ont des labels écologiques. Seule exception pour les produits dont la certification n’existe pas encore, qu’elle est difficile à cause d’un ingrédient minoritaire ou de l’éloignement du fournisseur (cas du savon d’Alep en Syrie par exemple).
Notons au passage que pour rester cohérente avec son cahier des charges, la coopérative a banni deux irritants pour la peau. À savoir l’Amonium lauryl sulfate (ALS) et le Sodium lauryl sulfate (SLS).
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