Volkswagen joue avec les arnaques en ligne dans sa nouvelle campagne

Par Ludivine Taboury

24 février 2025

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Volkswagen et DDB Paris lancent une campagne inspirée des arnaques en ligne. Une Volkswagen, c’est souvent moins cher que ce que l’on imagine. Mais à une époque où tout ce qui paraît trop beau pour être vrai cache souvent des arnaques bien ficelées, difficile de ne pas avoir de doute. DDB Paris a détourné cette méfiance pour signer une campagne print qui joue sur l’humour et s’amuse des réflexes paranoïaques de l’ère numérique.

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Crédit Photo : DDB Paris

Inspiration des mails d’alerte

L’inspiration ? Les fameux mails et messages groupés envoyés par des proches bien intentionnés. « Attention, grosse arnaque en cours, ne cliquez pas ! ». Ces mises en garde parfois maladroites, légèrement alarmistes, pullulent dans les boîtes mails et autres groupes WhatsApp familiaux. Sauf que pour cette fois, pas de phishing, ni de cyber-pirates, mais juste une surprise de taille : le prix d’une Volkswagen.


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Créatif, malin et contextuel : une campagne qui joue sur la perception

Avec cette direction artistique, l’agence DDB Paris pousse le concept jusqu’au bout en jouant sur les termes de l’arnaque, les plaçant ainsi de façon inattendue. L’annonce « fishing » (clin d’œil au phishing) se présente sous la forme de « Pêche en mer Magazine ». Quitte à être littéral, autant l’être jusqu’au bout ! En détournant un phénomène bien ancré de façon ludique, Volkswagen retourne l’idée à son avantage. Une manière habile de rappeler au public que des offres attractives existent bel et bien, sans forcément cacher une entourloupe. Le concept, pertinent et rempli d’humour, offre une nouvelle façon de percevoir la marque Volkswagen, qui joue ici sur la culture internet et les habitudes de consommation de l’information.

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Crédit Photo : DDB Paris

Un message clair et percutant

DDB Paris réussit ici à faire sourire tout en faisant réfléchir. L’idée fonctionne d’autant mieux qu’elle repose sur une observation simple : la méfiance. Face à une bonne affaire, le public a tendance à toujours se méfier. Mais si cette fois-ci, c’était une opportunité à saisir ?

La campagne est disponible en presse magazine depuis le 21 février et promis, pas de cheval de Troie !

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