Highlab est un studio qui développe la culture du Marketing Technologique et la « créative technologie » au travers de ses prestations de production Digitale et d’installations interactives ! Une approche pluridisciplinaire des enjeux marketing qui permet de proposer des solutions digitales multi-devices (physiques ou virtuelles) adaptées à des projets variés. Ce studio nouvelle génération, à la pointe de la technologie, accompagne donc des projets innovants et futuristes !
Curieux d’en savoir plus à son sujet, nous avons reçu le fondateur de Highlab Benoît Klajn. Cet échange est également une occasion de revenir sur le Marketing Technologique, mais aussi d’évoquer la place de la publicité traditionnelle et la communication de demain !
Entretien avec Benoît Klajn, fondateur de Highlab
JUPDLC : Pouvez-vous nous présenter Highlab en une phrase ?
Benoît Klajn : Highlab est un studio de production digitale et de conseil en Marketing technologique pluridisciplinaire.
JUPDLC : Pourquoi s’être orienté vers le marketing qui combine créativité et technologie ?
Benoît Klajn : C’est dans l’air du temps ! Le consommateur final souhaite connaître une expérience à tous les niveaux de relation avec les marques. En se plaçant comme producteur de ces expériences, nous sommes sans cesse proches des nouvelles tendances technologiques.
JUPDLC : Que pensez de l’état du marché du Marketing Technologique aujourd’hui ?
Benoît Klajn : Il doit encore grandir, trop de bonnes idées sont gâchées ou sous-utilisées. C’est justement notre rôle d’évangéliser le Marketing technologique et de rendre ces technologies accessibles au plus grand nombre d’acteurs.
JUPDLC : La technologie est intimement liée à l’innovation, comment rester avant-gardiste dans un monde où une innovation en chasse une autre ?
Benoît Klajn : C’est justement en essayant de mixer, de détourner, de hacker leurs utilisations pour faire des expériences différentes que nous y arriverons !
Podcast
JUPDLC : Comment appréhendez-vous la concurrence sur le marché du Marketing Technologique ?
Benoît Klajn : Nous sommes plutôt contents d’avoir de la concurrence, c’est assez motivant et cela montre parfois que le traitement d’une idée n’a pas qu’un chemin technologique.
JUPDLC : Les nouvelles technologies sont-elles un nouvel eldorado pour la créativité, ou, à l’inverse, les innovations technologiques ne risquent-elles pas de formater la création ?
Benoît Klajn : Grand débat ! En réalité, nous ne confrontons pas les deux, c’est un tout. C’est aussi ça, le métier de Créative Technologist !
JUPDLC : Pensez-vous que la publicité et la communication au sens traditionnel du terme (c’est-à-dire physique) sont vouées à disparaître ?
Benoît Klajn : Surtout pas ! Et il ne le faut pas. Demain, vous aurez des magazines personnalisés dès l’impression ! Dans lesquels vous trouverez des pages augmentées grâce à vos lunettes. Si le physique meurt, le digital et l’interactif s’y retrouveront appauvris.
JUPDLC : Chez Highlab, sur quelle technologie misez-vous en particulier ? Une idée sur ce qui pourrait être la communication de demain ?
Benoît Klajn : Nous ne faisons pas de futurologie chez Highlab, mais nous aimons penser que nous serons dans des technologies d’hyper-personnalisation et d’accompagnement du consommateur dans sa relation avec les marques ,que ce soit dans le monde réel ou les mondes virtuels.
JUPDLC : Vous avez réalisé une « cabine miroir infinie » pour le partenariat entre Hublot et Dj Snake, un autre projet futuriste dont vous voudriez nous parler ?
Benoît Klajn : Tous les dossiers que nous faisons sont inspirants, mais celui qui mélange à date le mieux nos inspirations et visions est le livre electro-mécanisé mélangeant mapping et pliage pop-up que nous avons réalisé en septembre pour TBWA et son client l’Office Français pour la Biodiversité.
Pour en savoir plus sur Highlab, rendez-vous sur sa page dédiée !
