Infographie : rétrospective des bad buzz des marques en 2016

Visibrain, plateforme de veille des médias en ligne, et Nicolas Vanderbiest, chercheur et spécialiste en phénomène et relations d’influence, viennent de communiquer leur rétrospective des bad buzz de 2016 ainsi que l’analyse de leurs conséquences. Ils proposent également 7 enseignements à retenir pour éviter les bad buzz en 2017.

Il ressort notamment de leur étude que le nombre de bad buzz a baissé en 2016 par rapport à 2015 ; ce qui est plutôt une bonne nouvelle. De plus, parmi les 104 bad buzz identifiés, 98% sont dus à des erreurs de l’entreprise (services communication et marketing majoritairement…) qui pourraient donc être évitées. Enfin, du côté des consommateurs et du grand public, c’est Twitter qui est privilégié pour exprimer les insatisfactions, suivi d’assez près par Facebook, of course !
On apprend également que le sexisme est en cause dans 20% des crises, et que l’annonce par Toblerone de son changement de forme (bad buzz à portée beaucoup moins sociale donc…) a entrainé pas moins de 320 773 tweets.

Quant aux enseignements à retenir pour 2017 et éviter au max les bad buzz, ils sont au nombre de 7, et certains relèvent tout simplement de la logique :

  1. Le règne du faux n’est pas terminé et est désormais un risque de crise ;
  2. Les crises éclatent de plus en plus souvent en ligne ;
  3. La politique et les affaires ne font pas bon ménage ;
  4. Les tensions sociales se ressentent au sein des entreprises ;
  5. Le sexisme est encore trop utilisé ;
  6. La sensibilisation des employés à la crise est une priorité ;
  7. Les détails sont trop souvent négligés.

Pour en savoir plus vous trouverez l’infographie complète ci-dessous, et le livre blanc contenant le détail des 7 enseignements, les 5 plus gros et les 10 plus idiots bad buzz de l’année est à télécharger ici.

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